« AUJOURD’HUI, JE SORS DE MON SALON » BRUNO BARBIER

Propos divers et variés par, sur et de Bruno Barbier (aussi)

Il peint pour le plaisir

La détente intérieure

Il part à la conquête des formes

l’utilisation à bon escient des matières

pastel sec, dessin, acryliques. Pas d’études artistiques

mais l’acceptation de l’apprentissage

puis la libération des contraintes esthétiques.

Peindre est libératoire

nous abordons son quotidien, sa présence auprès des personnes privées de liberté

Il balaye d’un geste large

Crois-tu qu’on peut utiliser un mot des vieux registres?

Lequel?

Sublimation, par exemple?

L’art est une forme d’évasion

Culture pour tous. Prise de conscience. Nécessité de reconnaissance. Besoin d’amour, besoin que ça compte. S’exposer alors, se mettre à nu

en jouant des paradoxes. Accepter, voilà le plus délicat, le regard de l’autre, désiré, redouté

 » Je passe un coup de chiffon sur les toiles, tu ne crois pas? »

Besoin de rien pour partir

je quitte ce monde

Je me suis créé une bulle

Question encore

Non, t’arrêtes tes questions. J’ai des envies à faire plaisir.

Et quand tu peins cette série des bustes d’hommes et de femmes, d’enfants surmontés d’une tête animale…

Il y a encore cette suprématie , la vision de l’humain qui crée des systèmes arbitraires

L’émotion conditionne tout

L’entrée – La sortie.